Conclusion : les notifications ne sont pas le problème
Pour 52% des utilisateurs, les réseaux sociaux comme WhatsApp, Instagram, Facebook, Messenger sont consultés spontanément. Dans 17% des cas, les utilisateurs vérifient rapidement (écran vérrouillé) s’ils ont reçu une notification.
Les appels n’ont compte que pour 1%, la musique 3% et les emails 6%.
Dans cette étude,
le scrolling est apparu comme la
source majeure entraînant les utilisateurs à rester sur leur écran.
« La grande majorité des interactions des smartphones découlent de perturbations automatiques et habituelles, ce qui signifie que nous devons aborder le problème différemment »
Ces travaux
devraient trouver un écho dans notre propre vigilance et celles de nos enfants en particulier, plus fragiles.
Les concepteurs sont aussi pointés du doigt quant à la
responsabilité qui les engagent et l’intérêt qu’ils devraient porter à la santé numérique de tous, en adaptant le design de leurs applications et des smartphones.
Mots clés : addiction internet, hyper usage internet, usages problématiques internet, psychologue addictologue, addiction aux écrans, cyberdépendance, addiction digitale et technologique, addiction écrans, hyper usage écrans, usages problématiques internet.
Résultats de la recherche
revue Computers in Human Behavior
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cottonbro Carlos Arribas et – Pexels